Songtext zu Ô toi que l'aube effraie, ô toi qui crains l'aurore
Ô toi que l’aube effraie, ô toi qui crains l’aurore,
Et que ne tentent plus la route et le chemin,
Quitte la ville vaine, arrogante et sonore
Qui parle avec des voix de soleil ou d’airain.
C’est là que l’homme fait sa boue et sa poussière
Pour élever son mur autour de l’horizon ;
Mais toi, dont le désir n’apporte plus sa pierre
Au travail en commun qui bâtit la maison,
Laisse ceux dont le bloc charge, sans qu’elle plie,
L’épaule, et dont les bras sont propres aux fardeaux,
Se construire sans toi les demeures de vie
Et va vivre ton songe en la Cité des Eaux.
Henri de Régnier - Ô toi que l'aube effraie, ô toi qui crains l'aurore Songtext
zu Ô toi que l'aube effraie, ô toi qui crains l'aurore von Henri de Régnier - Ô toi que l'aube effraie, ô toi qui crains l'aurore Lyrics for Henri de Régnier - Ô toi que l'aube effraie, ô toi qui crains l'aurore Paroles de Ô toi que l'aube effraie, ô toi qui crains l'aurore par Henri de Régnier - Ô toi que l'aube effraie, ô toi qui crains l'aurore Text Ô toi que l'aube effraie, ô toi qui crains l'aurore Henri de Régnier Ô toi que l'aube effraie, ô toi qui crains l'aurore Liedtext
