Choum - L'infusion de mon corps Text

Songtext zu L'infusion de mon corps

J'ai mangé des fayots,
qu'est-ce que j'ai mal dormi ?
Dans un vieux caniveau,
ça sentait l'oeuf pourrie.
Que les slips sont trempés,
que les fleurs ont fané.
Que l'odeur du vent, c'est
plus l'odeur d'avant.
Souvent je me prélasse,
après une ragougnasse.
J'attends que ça passe.

Je ventilerai des heures,

pour évacuer l'odeur.
Même si des relents,
parfume mes sous-vêtements.
Je boirai d'la tisane,
pour chasser le méthane.
Tu respiras encore,
l'infusion de mon corps.
L'infusion de mon corps.

Prendre un grand bol d'air frais,

après les flageolets.
Fallait pas me renifler,
je pus le renfermer.
Dans les repas familles, les
autres disent que j'suis
coincé comme une quille.
Moi je fais fuir les autres en rotant !
Mijotée dans la crasse
d'une serviette plein de taches.
Faut pas que je me lâche.

Je ventilerais des heures,

pour évacuer l'odeur.
Même si des relents,
parfume mes sous-vêtements.
Je boirai d'la tisane,
pour chasser le méthane.
Tu respiras encore

l'infusion de mon corps.

J'avalerai du potage,

la vase des marécages.
Des kilos de fromage,
et y aura du carnage.
Des ballonnements gastrique,
des éflus variolique.
Je te donnerai la mort,
par l'infusion de mon corps.

Vive les choux de Bruxelle,

vive la daube malsaine.
Le vieux lait de chamelle,
et que le feu reprenne.
J'en fumerai les autres,
que ça me donne du plaisir.
Ca puera la gargote,
qui donne envie de vomir.
Et des longues et des belles,
en ouvrant les aisselles.
Je réveillerai les morts,

par l'infusion de mon corps.
L'infusion de mon corps
L'infusion de mon corps
L'infusion de mon corps

Choum - L'infusion de mon corps Songtext

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